À l’île de Ré, la “Vague Bleue” crée du lien

Présentez-nous votre association en quelques mots.

En quoi le fonctionnement de votre association est-il inédit ?

Notre credo, comme celui du CDAIR, est de créer du lien.
Tous les résidents, par exemple, sont membres de l’association, s’impliquent dans son fonctionnement et participent aux assemblées générales.
Les contacts avec le monde extérieur sont très présents dans leur quotidien, y compris sous forme de relations que l’on peut qualifier d’économiques ! Grâce à la “vente” de leurs créations artisanales, réalisées au sein des ateliers occupationnels, les résidents peuvent choisir leurs loisirs et ainsi accéder à une certaine forme d’autonomie.
Cette année, avec la suppression des marchés de printemps et de Noël sur l’île, du fait de la Covid-19, ils ont parfaitement compris que leurs recettes seraient moindres.

Que vous apporte le soutien de l’ADPS ?

C’est un grand et généreux mécène, présent à nos côtés depuis 2007.
Le montant cumulé de ses dons représente plus de 17 000 euros !
Cette manne nous a permis entre autres de doter le CDAIR d’une machine à bois pour la menuiserie, de transformer son ancienne serre en atelier, ou encore d’acheter des équipements sportifs, notamment pour le karaté, une activité basée sur le dépassement de soi et le respect de l’autre, que les résidents apprécient énormément !

Vous pouvez également lire, dans le magazine Échos santé #72 (page 7), l’interview de Fabrice Le Guilloux, Président de l’association  « Actions pour l’Autisme Asperger Limoges ».